Un mail de réinitialisation vient de vous être envoyé !
Inscrivez-vous !
À quelles newsletters souhaitez-vous vous inscrire ?
En validant votre inscription, vous acceptez que La Lettre du Musicien mémorise et utilise votre adresse email dans le but de vous envoyer notre lettre d’informations hebdomadaires. Vous validez que vous avez pris connaissance de notre politique de confidentialité. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via votre espace personnel.
AUGMENTEZ VOS CHANCES D’ÊTRE CONTACTÉ PAR UN RECRUTEUR.
Chaque mois les recruteurs visitent les profils candidats sur lalettredumusicien.fr/lemploidumusicien
S'inscrire en tant que recruteur
À quelles newsletters souhaitez-vous vous inscrire ?
En validant votre inscription, vous acceptez que La Lettre du Musicien mémorise et utilise votre adresse email dans le but de vous envoyer notre lettre d’informations hebdomadaires. Vous validez que vous avez pris connaissance de notre politique de confidentialité. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via votre espace personnel.
Moyen Âge et Renaissance, parents pauvres de l’enseignement musical
Dans les départements de musique ancienne, le baroque se taille la part du lion et éclipse les répertoires plus anciens. Pour le musicien qui souhaite s’y frotter, la formation prend des airs d’Odyssée.
« <em>Les musiques médiévale et renaissante se développent en marge des conservatoires. Les gens qui veulent vraiment se former multiplient les stages</em>. » Antoine Guerber, directeur de l’ensemble Diabolus in Musica (DR)