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Avant l’apparition de la musique enregistrée, la musique vivante était omniprésente dans les salles de spectacle. Rares étaient les pièces de théâtre qui n’étaient pas soutenues par un petit ensemble instrumental dont l’effectif devait s’adapter à la taille des fosses d’orchestre. Et l’on commandait des œuvres originales, souvent remaniées plus tard pour le concert sous forme de suites d’orchestre.
“Masques et Bergamasques” de Faurépubliée chez Bärenreiter.