Un mail de réinitialisation vient de vous être envoyé !
Inscrivez-vous !
À quelles newsletters souhaitez-vous vous inscrire ?
En validant votre inscription, vous acceptez que La Lettre du Musicien mémorise et utilise votre adresse email dans le but de vous envoyer notre lettre d’informations hebdomadaires. Vous validez que vous avez pris connaissance de notre politique de confidentialité. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via votre espace personnel.
AUGMENTEZ VOS CHANCES D’ÊTRE CONTACTÉ PAR UN RECRUTEUR.
Chaque mois les recruteurs visitent les profils candidats sur lalettredumusicien.fr/lemploidumusicien
S'inscrire en tant que recruteur
À quelles newsletters souhaitez-vous vous inscrire ?
En validant votre inscription, vous acceptez que La Lettre du Musicien mémorise et utilise votre adresse email dans le but de vous envoyer notre lettre d’informations hebdomadaires. Vous validez que vous avez pris connaissance de notre politique de confidentialité. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via votre espace personnel.
Un pianiste russe est souvent un mythe. L’histoire même du piano russe semble jalonnée de fortes personnalités, héros d’une saga musicale et nationale à la fois : Rubinstein (Anton), Rachmaninov, Blumenfeld, Neuhaus, Richter, Guilels, Nikolaieva, Bachkirov… A y bien regarder, une telle série de grandes figures n’est guère concevable ailleurs. La centralisation de la formationà Moscou ou à Saint-Pétersbourg, dès l’époque tsariste, poursuivie pendant la période soviétique, y est sans doute pour quelque chose. Aujourd’hui, un Boris Berezovsky ou un Nikolaï Lugansky poursuivent la tradition. Et ce n’est pas seulement parce qu’ils “jouent bien du piano”, mais parce qu’ils incarnent quelque chose de plus, qui va au-delà de la technique.